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10 février 2013

Solid'Ici, Solid'Ailleurs concert le 24 février

affiche solidarité février1 copie.jpgDans le cadre de l'action Solide ici Solide ailleurs la maison Alésia Jeunes renouvelle son action de l'année passée et vous convie chaleureusement au premier concert de l'année (dimanche 24 février à 16h, 16 rue du Moulin Vert):
Venez nombreux et parlez-en autour de vous !!!
Solide'Ici Dans le 14ème, en aidant financièrement des jeunes défavorisés à partir en colonie cet été (Colonie organisée par la Maison Alésia Jeunes).
Solid'Ailleurs A Bethléem, en aidant  financièrement des familles de Bethléem, pour qu'elles puissent rester vivre dans leur ville! (cliquez sur l'image popur l'agrendir)

25 novembre 2012

En passant par l'impasse Florimont

Florimont_impasse_9_Georges_Brassens_chez_Jeanne_02_max.jpg Il s’agit-là d’un bien modeste lieu que l’urbanisme moderne a oublié. Les promoteurs immobiliers ont sans doute abandonné l’idée de construire sur cette parcelle. La mémoire et le souvenir veilleront sans doute encore longtemps au sursis accordé.

 Une visite rapide du lieu s’impose. L’impasse a 47 mètres de long et 2 mètres de large. Au numéro quatorze, ce « couloir » s’arrête en cul-de-sac formé par une maison d’un étage, accolée à un jardinet précédé par une courette. Voilà pour le décor. Précisons que l’impasse est parallèle à l’avenue Villemain qui débouche sur la rue d’Alésia et la rue Raymond Losserand. Ainsi cette modeste ruelle abrita plus d’un siècle des citoyens sans histoire.

 Cette minuscule voie vit sa naissance à la charnière des règnes de Charles X et de Louis-Philippe. Le premier propriétaire fut un certain Florimont Leovis, avocat de son état, qui fit construire une maisonnette d’un étage sur un des terrains vagues qui, à cette époque se trouvaient hors les « barrières » de Paris.

 Le temps passant, d’autres demeures virent le jour de chaque côté de la ruelle. Notons au passage qu’au 18ème siècle, les habitations urbaines étaient taxées par rapport au nombre de « pièces à feu », pièces logeables possédant un chauffage indépendant, ce qui explique en partie les surfaces restreintes des habitations.

 Signalons que cette voie a été amputée de ses maisons jusqu’à la moitié de sa longueur et ce, sur le côté gauche de la ruelle. L’explication est simple. En mai 1959 s’installe au n° 154 de la rue d’Alésia une station-service au profit de laquelle on rasa un petit estaminet qui formait le coin gauche de l’impasse. Ce café, typique « boui-boui » de la Belle Epoque était tenu par Monsieur Berthier. Chez lui venaient se retrouver les ouvriers maghrébins de l’usine des Asphaltes située en face rue d’Alésia.

 Mais passons au n° 9 qui nous intéresse plus particulièrement, puisqu’il abrita pendant de brassens,florimont,75014,paris 14,paris 14e,georges brassensnombreuses années notre poète-chanteur et compositeur Georges Brassens. A ses débuts, celui-ci fut recueilli par une concierge de la rue d’Alésia. Le patron du café situé à l’angle des rues Bardinet et Alésia, Monsieur Malet, auvergnat bon teint, eut pitié de son infortune et lui offrit l’assiette de soupe du soir. Devenu célèbre et reconnaissant, Georges Brassens l’honora d’une chanson. Après guerre, notre chanteur s’installa au n° 9 de l’impasse, chez la famille Planche. Georges Brassens fit ravaler cette maison et l’offrit à cette brave dame qui de locataire devint propriétaire. Il acheta aussi le n° 7 et l’offrit jusqu’à sa mort à la veuve Lescat.

 Ainsi le passage Florimont reste et restera, il faut le souhaiter, un exemple d’urbanisation de la capitale et de ses faubourgs durant le 19ème siècle. Modeste, presque invisible, il est pour les flâneurs, un sujet d’attention et un rêve pour tous ceux qui ne désespèrent pas de voir ce lieu toujours empreint de poésie, de nostalgie, qualités toujours aimables à leurs yeux. 

Allez aussi voir le site de Christian Vancau, vous y trouverez des photos de Brassens et le l'impasse Florimont.

Documentation : extraite du bulletin n° 37 de la SHA du 14ème.

20 novembre 2012

Yue Minjun à la Fondation Cartier

La Fondation Cartier pour l’art contemporain présente la première exposition majeure consacrée à Yue Minjun.jpgMinjun en Europe. Une occasion unique de découvrir le travail de cet artiste chinois aujourd’hui reconnu et dont la célébrité contraste avec la grande discrétion. Revisitant les codes du grotesque par une iconographie haute en couleur et hantée de personnages au rire énigmatique, son oeuvre porte un regard ironique et désabusé sur le contexte social et politique de la Chine contemporaine et sur la condition humaine dans le monde moderne. À travers près de 40 tableaux issus de collections du monde entier, ainsi qu’une multitude de dessins encore jamais montrés au grand public, l’exposition dévoile l’esthétique singulière et complexe d’une œuvre qui se dérobe à toute interprétation.

YMJ_Sky 1_A4.jpg

du 14 nov. 2012 au 17 mars 2013 Fondation Cartier pour l’art contemporain
261, boulevard Raspail, 75014 Paris
www.fondation.cartier.com

TARIFS (expositions)
Droit d’entrée : 9,50 €  Tarif réduit : 6,50 €*
Gratuit **

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16 novembre 2012

Le jardin partagé des trois communes ( Porte de Vanves), réunion 21 novembre 18h30

Un jardin partagé, situé dans le futur jardin des trois communes (Paris, Malakoff et Vanves), avenue de Porte de Vanves dans le 14e est en cours de réalisation. Les travaux ayant bien avancé, le jardin ouvrira enfin ses portes au printemps prochain.

Au cours des deux dernières années, différentes réunions ont eu lieu pour aborder le projet de jardin partagé. Cet espace de 400 m² sera jardiné et géré par une association d'habitants des 3 communes. C'est cette association qui gèrera la vie quotidienne du jardin (organisation des parcelles, des animations, etc...)

Aujourd'hui, plusieurs personnes se sont déjà rassemblées au sein de l'association du jardin partagé de la Douve.

Pour évoquer avec eux l'ouverture prochaine du jardin partagé, pour adhérer à l'association et devenir un futur jardinier,

une réunion est prévue mercredi 21 novembre à 18h30

au Centre socioculturel Maurice Noguès ( 5, place de la Porte de Vanves )

A l'ordre du jour:

- Présentation de l'association du jardin de la Douve
- Présentation du plan du jardin
- Discussion autour du fonctionnement du jardin
- Adhésion
 
Dès à présent, si vous souhaitez adhérer au jardin partagé et obtenir une parcelle, il faut adresser un mail à jardinsdeladouve@gmail.com. 

14 novembre 2012

La Compagnie THEATR'AL joue Labiche à Alésia-Jeunes

labiche,THEATR'AL,Alésia-jeunes,75014,paris 14eDeux représentations du "Chapeau de paille d'Italie", d'Eugène LABICHE, dans une mise en scène de Anne-Laure Connesson, vont être données samedi 17 novembre à 20h 30 et dimanche 18 novembre à 15 heures, à la Maison Alesia-Jeunes, 16 rue du Moulin Vert.

La Compagnie THEATR'AL est une troupe constituée il y a 3 ans, et qui réunit une douzaine de comédiens amateurs habitant principalement dans le 14ème arrondissement. (cliquez sur l'affiche pour l'agrandir)

Le prix d'entrée est de 10 € pour les adultes et de 5 € pour les enfants (jusqu'à Etudiants).

11 novembre 2012

Collecte annuelle pour les Colis alimentaires

banque alimentaire.jpgLa collecte annuelle de la "Banque alimentaire" aura lieu les 23 et 24 novembre 2012.

Chaque année des bénévoles de notre quartier y participent activement. Cette collecte permet l'approvisionnement des "Colis alimentaires", qui, tout au long de l'année, aident de nombreuses personnes du 14ème dans leurs besoins en produits alimentaires.

En 2011, dans le 14ème, plus de 9 000 kgs de marchandises ont été ainsi collectés. Ils viennent en complément de ceux donnés par la "Banque alimentaire". Ils permettent d'assurer la distribution de produits alimentaires aux personnes et familles aidées ( en moyenne 300 personnes chaque semaine).

Ils ont également permis l'approvisionnement du groupe "Pain partagé" de Saint-Pierre de Montrouge. Ce groupe dit "Pain Partagé"  est proche  des "Colis alimentaires", mais a une activité distincte tournée vers la convivialité avec des personnes sans domicile.

Si vous pouvez aider cette année, faîtes-vous connaître, soit en téléphonant à l'accueil de la paroisse St-Pierre de Montrouge, au 01 43 95 41 00, soit par e.mail à : gailledrat.francois@numericable.fr

Merci par avance.

14 octobre 2012

UN ECOQUARTIER SUR LE SITE DE L'HÔPITAL SAINT-VINCENT-DE-PAUL (II)

Peu d’informations ont été données sur l’avenir du site de l’hôpital Saint Vincent de Paul. Gérard Desmedt, journaliste, a enquêté pour nous. La Voix du 14ème publie son reportage en deux parties, la 2ème aujourd'hui. Lire la première

ap,mairie 14,75014,paris 14e,saint vincent de paul,hopitalPour penser le nouveau quartier, (voir le site, cliquez pour agrandir) les études sont en cours. Une agence d'urbanisme travaille sur le projet, sous la tutelle d'un comité de pilotage composé des services techniques de l'Hôtel de Ville, de la mairie du 14e, de l'APHP. Les élus de l'arrondissement quartier veulent bâtir là un écoquartier exemplaire et novateur, avec des bâtiments à énergie positive (qui produisent plus d'énergie qu'ils n'en consomment), de la verdure, peu de voitures.

Celia Blauel, la jeune conseillère d'arrondissement écologiste (EELV) du 14e, chargée de la téléphonie mobile, des jardins partagés et de la collecte sélective, s'est beaucoup investie dans le projet. Elle n'a pas tout à fait la même conception du futur écoquartier que le maire et ses adjoints socialistes. « Un écoquartier, ce n'est pas seulement des maisons bien isolées, des panneaux solaires sur les toits et de la verdure, explique-t-elle. C'est une construction collective, qui doit rassembler la Mairie, les futurs bailleurs, les futurs habitants, les acteurs économiques et culturels qui s'y implanteront.

Un programme précis devrait se bâtir dans la concertation, avec ensuite des directives précises. Par exemple : il est prévu une pépinière d'entreprises. Nous pensons qu'il faudrait surtout y accueillir des artisans, qui ne parviennent plus à rester à Paris, et des entreprises d'économie sociale et solidaires. Beaucoup de travail reste à faire, pour discuter ensemble de l'habitat (combien de logements vraiment sociaux?) des transports, de l'empreinte écologique, des déchets etc. »

Côté opposition, Marie-Claire Carrère-Gée (UMP), tout en approuvant les grandes lignes du projet, trouve la pépinière d'entreprises prévue trop petite, et elle insiste sur la nécessaire implantation, sur les lieux, de commerces de proximité.

Alors les habitants du 14e auront-ils leur mot à dire ? « La Mairie a bien promis l'ouverture d'une concertation avec les habitants, mais la date est reculée de mois en mois, regrette Martine Scrive, l'une des responsables de l'association HESP'ère 21 (Habitat Écologique Solidaire Parisien pour le 21e siècle), qui veut « promouvoir, accompagner et réaliser des projets exemplaires d’habitats écologiques et coopératifs » sur Paris. Notre dossier est prêt. Nous travaillons avec un collectif d'associations du quartier. Nous voulons faire connaître le détails de nos propositions. ».

L'association souhaite pour ce nouveau quartier de l' « habitat participatif ». C'est à dire des ensembles de logements pensés en amont par les futurs occupants, avec des services partagés, des salles de réunion, des activités ouvertes sur l'environnement. Ces logements seraient non spéculatifs, afin que les premiers occupants ne puissent pas revendre en partant avec une grosse plus-value... Une optique que partage Célia Blauer. « Certains trouve cette proposition irréalisable et nous traitent d'utopistes, affirme l'élue. Pourtant il n'est pas normal que lorsque beaucoup d'argent public est dépensé pour rendre un quartier beau, agréable, des propriétaires privés en tirent un avantage en réalisant d'énormes plus-values.

On attend donc maintenant l'ouverture des discussions, promises aussi par Anne Hidalgo, première adjointe au maire de Paris, chargée de l'urbanisme. Quand ? Mystère ! Cette valse-hésitation risque de retarder le calendrier initial. La livraison du nouveau quartier est prévue en 2017. Il y a fort à parier que la date ne sera pas respectée.

Gérard Desmedt

13 octobre 2012

UN ECOQUARTIER SUR LE SITE DE L'HÔPITAL SAINT-VINCENT-DE-PAUL (I)

Peu d’informations ont été données sur l’avenir du site de l’hôpital Saint Vincent de Paul. Gérard Desmedt, journaliste, a enquêté pour nous. La Voix du 14ème publie son reportage en deux parties, aujourd’hui et demain.

Toutes les activités de soin ont cessé à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul depuis presque un an. La Mairie du 14e veut transformer le site en « écoquartier ». Les études ont commencé. Mais la concertation avec les habitants promise sur l'avenir du nouveau quartier tarde à venir.

Que va devenir l'ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul ? Depuis deux ans déjà, les parents ne se pressent plus avenue Denfert-Rochereau pour conduire leurs enfants aux urgences, transférées à l'hôpital Necker. La maternité a fermé fin 2011, pour rejoindre celle, très moderne, de Port-Royal. Dans les murs de l'ancien hospice des enfants trouvés, fondé en 1802, ne subsiste plus qu'une antenne de l'Etablissement français du sang, et l'école de sages-femmes de Paris-Baudeloque, qui devrait quitter les lieux en 2013.

saint Vincent de Paul.JPG

3,2 hectares de terrain sont donc disponibles, pour une opération d'urbanisme importante. La mairie de Paris a établi un cahier des charges précis. Elle veut construire environ 400 logements (50 % sociaux, 50 % privés) dont des appartements spécialement équipés pour des personnes handicapées, une crèche, un gymnase, un espace vert avec des aires de jeux pour les enfants, une pépinière d'entreprises, une cité d'artistes. L'îlot formé par l'ancien hôpital serait désenclavé avec le percement d'une nouvelle rue entre l'avenue Denfert-Rochereau et la rue Boissonade.

Déjà, des divergences ont surgi. L'Assistance Publique Hôpitaux de Paris (APHP), propriétaire du site, souhaite faire une bonne opération financière en se séparant de ce beau terrain au cœur de Paris. L'APHP, qui traîne comme un boulet une dette gigantesque (218 millions d'euros début 2012...) veut en retirer 130 millions d'euros. Pour y parvenir, il faudrait construire un plus grand nombre de logements privés, ce que refuse la municipalité. La Mairie de Paris tient à ses logements sociaux et souhaite limiter sa dépense à 80 millions...

Les élus ont cependant un atout dans leur manche. Le Plan local d'urbanisme (PLU) devra être modifié par la Mairie. Actuellement, le site est administrativement destiné à accueillir des établissements de santé. Le nouveau plan donnera des orientations différentes, qu'il faudra suivre. La Mairie du 14e souhaite se mettre d'accord avec l'APHP avant toute révision du PLU. (à suivre - cliquez ici)

G.D.

09 octobre 2012

Histoires d'eaux

Il en en faut, de l'eau, pour offrir aux parisiens de quoi boire, de quoi se laver, de quoi nettoyer. Depuis l'Antiquité et le premier aqueduc romain, des travaux gigantesques ont été réalisé pour faire venir l'eau de loin, dans la capitale. « Eau de Paris », l'opérateur municipal de la distribution de l'eau, propose aux parisiens de découvrir le patrimoine hydraulique de la cité : ses fontaines, ses réservoirs, ses ouvrages industriels.

« Le parcours de l'eau » propose des visites à pied, en vélo ou en rollers, en partenariat avec une dizaine d'associations qui envoient des guides spécialisés. Deux lieux sont fontainier,paris 14,paris 14e,aqueduc,bassin,reservoirà voir dans le 14e :

« A la rencontre des trois aqueducs du sud ». Mercredi 17 octobre 14h30. L'aqueduc de Lutèce, dans le quartier Montsouris, l'aqueduc Médicis, l'aqueduc de Belgrand ont alimenté successivement Paris depuis 2000 ans. La visite part sur leurs traces, avec la découverte du pavillon de la Porte d'Arcueil, où arrivent les eaux du Loing avant leur stockage dans les réservoirs de Montsouris. Inscription obligatoire au 01 42 24 54 02 ou par courriel: pavillondeleau@eaudeparis.fr. Le lieu de rendez-vous est donné lors de l'inscription.

fontainier,paris 14,paris 14e,aqueduc,bassin,reservoir« La maison du Fontainier, entre bassins et réservoirs ». Samedi 3 novembre 10h30 – Samedi 24 novembre 10h30 -Samedi 8 décembre 14h30. La visite comprend les sous-sols de l'un des principaux aqueducs, dit « de Marie de Médicis », pivot de l'alimentation  en eau de Paris entre le XVIIe et le XIXe siècle, avec un exposé panoramique sur les grandes périodes de l'histoire de l'eau dans la cité.

Prévoir des chaussures confortables et des vêtements chauds. Inscription obligatoire au 01 42 24 54 02 ou par courriel : pavillondeleau@eaudeparis.fr Le lieu de rendez-vous est donné lors de l'inscription.

Pour voir toutes les visites disponibles sur Paris, cliquez ici

G.D.

04 octobre 2012

"Parcours Evangile–Actualité 2012-2013" à la chapelle Saint-Bernard-de-Montparnasse

Parcours Evangile – Actualité 2012-2013: l’actualité de l’Evangile dans les actualités du monde.

« Les Écritures deviennent vivantes quand elles sont engagées dans les événements de l’histoire, dans le quotidien de nos vies et dans le dialogue avec les autres. » (JM Ploux)

Il s’agit d’une expérience unique à Paris, menée depuis 8 ans, à la chapelle Saint-Bernard de Montparnasse. Elle s’adresse à quiconque s’intéresse à l’Evangile et à l’actualité. 

Elle nous amènera à découvrir un écho entre l’actualité du monde et l’évangile, celui de Jean cette année. Pour cette lecture, un fil conducteur, « la clé » : tradition-innovation.

Cinq rencontres dans l’année : 5 samedis matin de 9h à 13h30, les 13 octobre (lire Jn 1 à 3) ; 24 novembre ; 12 janvier ; 9 février ; 6 avril 2013.

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07 septembre 2012

La Fondation Cartier présente : "Histoires de voir"

histoires de voir.jpgL'exposition  "Histoires de Voir, Show and Tell " nous fait découvrir les oeuvres de plus de 50 artistes de la planète Ils viennent tous de pays différents, des cinq continenst : haïtiens, mexicains, européens, japonais américains,  brésiliens , africains...  Tous ne vivent pas dans leur pays d'origine, mais à Paris, Tokyo, Port-au-Prince, à Mexico et parfois en Amazonie...

Autodidactes pour la majorité, ils n'ont reçu qu'un enseignement rudimentaire pour la plupart, mais tous sont animés par une passion qui les fait se dépasser dans l'expression et la réalisation de leurs oeuvres. Ils se sont découverts artistes et ont appris à voir la réalité sous un aspect parfois "naïf". Très peu ont été invités à se produire dans les manifestation officielles de l'art contemporain.

Riche de plus de 400 oeuvres, l'exposition révèle un vaste réseau de correspondances, de complicités secrètes entre des oeuvres issues de géographies, de savoirs et de cultures différents.

"Histoire de voir" célèbre l'existence d'autres pensées, la recherche de formes nouvelles, suggérant qu'une multiplicité d'arts contemporains est possible. Elle affirme la puissance créatrice d'artistes pour lesquels peindre, modeler, filmer, dessiner, coudre, sculpter est à la fois une recherche de la connaissance et une expérience du monde.

- Fondation Cartier : Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi de 11h à 20h. Nocturne le mardi jusqu'à 22h.- 261, boulevard Raspail - 75 014 - Tél : 01 42 18 56 50; Métro Raspail ou Denfert-Rochereau.

Cette expostion se terminera le 21 octobre 2012

06 septembre 2012

Pierre Szalowski au Livre Ecarlate

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04 septembre 2012

La galerie Camera Obscura présente...

Présentée pour la première fois en France une exposition de l'artiste coréenne:Junglin LEE

Lee.jpg

Wind et Thing sont deux séries ayant chacune fait l'objet d'une monographie à New-York en 2009 et à Séoul en 2005. Qu'elle pose son regard sur le lointain (Wind) ou le proche ( Thing), Junglin LEE transcende la vision ordinaire du monde pour en extraire un sentiment de présence immémoriale.

Si loin, vers l'horizon, les paysages désertiques et les nuages de Wind. Si proches, à portée de main, mystérieux , les objets-sculptures de Thing...

" Mes images doivent être vues comme des métaphores : ni la représentation du monde réel, ni l'expression de sa beauté visuelle, elles sont une forme de méditation..."  Junglin LEE

-  Galerie Camera Obscura : 268 boulevard Raspail - 75 014 -

-  Exposition du 6 septembre au 13 octobre 2012. Mardi à vendredi : 13h - 19h/ Samedi : 11h à 19h.

- Réception en présence de l'artiste le jeudi 20 septembre à 18h.

02 septembre 2012

D'où vient "Prières pour le monde"?

Le Conseil œcuménique des Eglises est une « communauté fraternelle d'Églises » où l'Église catholique n’est qu’observatrice, mais, dès 1964, a été mis en place un « Groupe mixte de travail ». Ce groupe a, entre autres, publié en 2005 une étude sur la nature et objet du dialogue œcuménique.


Prières pour le monde est une initiative du Conseil Œcuménique
Dans le liminaire du premier recueil de prières pour le monde publié en 1978, les auteurs écrivaient : Ce livre "voudrait favoriser un mouvement de fraternité et de communication entre chrétiens, entre Eglises, à la dimension du monde et de la connaissance que nous en avons aujourd'hui".
L'information est maintenant à la portée de chacun. C'est une grâce de bénéficier, par les différents médias , d'une vision très large qui permet de « contempler » le monde. On ne peut faire l'impasse sur cette dimension, tant dans la prière personnelle que dans la liturgie. Le cycle de prière, en 52 semaines, fait parcourir presque tous les pays de la planète. Il permet de s’interroger sur le sort de peuples dont on ne parle pas toujours,. En nous mettant à une meilleure écoute du monde, notre regard sur lui peut être transformé.


L'engagement d'un groupe œcuménique
Forts de cette conviction, Erica Brucker et quelques membres du groupe œcuménique du 14ième arrondissement de Paris et de la paroisse réformée de Plaisance-Montparnasse se sont engagés à actualiser les textes  et à les diffuser.
Ancienne responsable des mouvements de jeunesse protestante, puis missionnaire au Cameroun, Erica Brucker a relayé, pour la France, cette initiative. A partir de 1993, pendant 10 ans, elle a rédigé, semaine après semaine, chaque prière, sur la base d'un rigoureux travail de documentation. En 1994, un premier recueil a été diffusé, à partir duquel la prière pour le monde a essaimé. Elle a été adoptée par plusieurs paroisses et intégrée dans le culte dominical. Elle a été diffusée chaque semaine sur Fréquence Protestante (Paris 100.7 FM, le samedi à 21h et le dimanche à 5h25).
En 2003, Erica Brucker ayant 91 ans, la continuité a été assurée par un petit comité de rédaction avec le soutien du Service Oecuménique de la Fédération Protestante. Les textes ont été supervisés de 2003 à 2007 par le Pasteur Michel Wagner, à qui le Pasteur Didier Crouzet, a succédé.

30 août 2012

Un internat au lycée Guillaume Tirel

paris 14e,guillaume tirel,lycée hotelierDes opérations lourdes dans les établissements scolaires sont au programme de l’année scolaire 2012-2013, y compris dans le XIVème. C’est le cas de la construction du futur internat du lycée Guillaume-Tirel  pour 1,4 M€ dont la livraison devrait intervenir avant la fin de l’année. Près de nous, la rénovation du lycée-collège Buffon (dans le XVe) pour laquelle la région va investir 2 M€ s’achèvera quant à elle début 2014.

La 14ème compte, en effet, sur son territoire, boulevard Raspail, un établissement de renom, le lycée hôtelier Guillaume Tirel (1), inauguré en 2006. Il forme 400 futurs cuisiniers ou serveurs, avec une ambition : une ouverture maximale sur l’extérieur. Cette ambition est  symbolisée par les centaines de fenêtres qui parsèment la façade. Des cuisines au service, tout le bâtiment a été pensé pour que les élèves soient dans des conditions proches du réel. La Voix vous en a déjà parlé.

Labellisé " lycée des métiers de l'hôtellerie et de la restauration ", le lycée hôtelier Guillaume Tirel offre une gamme de diplômes nationaux allant du CAP aux diplômes d'enseignement supérieur : BTS, licence professionnelle.

En partenariat avec le CFA SACEF et l'IUFM de l'université de Cergy-Pontoise, le lycée propose la Licence professionnelle de restauration gastronomique à vocation internationale et la Licence Direction des Services d'Hébergement en Hôtellerie Internationale en apprentissage. Elles sont ouvertes aux titulaires d'un Bac+2, BTS Secteur Restauration et Hôtellerie, d'un BTS Tertiaire, DUT - L2 LEA ou Littéraire. 

05 juillet 2012

La mer à Paris

catacombes,denfert-rochereau,carrières,paris 14e,75014Sous les pavés, la plage ! Les inventeurs du slogan de mai 1968 ne croyaient pas si bien dire. Il y a 45 millions d'années, la mer recouvrait la région où a été bâti Paris, beaucoup plus tard. Les spécialistes précisent que l'on était alors à l'époque de l'éocène, exactement au lutétien.

Une exposition, présentée aux Catacombes, place Denfert-Rochereau, met en valeur ce patrimoine géologique. Au fil de la visite du célèbre ossuaire de Paris, installé dans d'anciennes carrières de calcaire, des panneaux explicatifs, des coupes de terrain, des photos rappellent ce qu'était le Bassin parisien : une mer chaude due à un climat alors tropical, peu profonde. Ses eaux grouillaient de poissons, de coquillages, que l'on retrouve fossilisés dans la roche. Il y avait aussi des crocodiles, des tortues, des mammifères marins. Le réchauffement climatique était alors effectif !

Le célèbre « bain de pied des carriers », un puit profond creusé au fond des carrières, dans un but de recherche scientifique, est une référence internationale, un vrai cours de géologie. Le long de ses parois, il est facile de déceler les différentes couches de sables, de marnes, de différents calcaires qui se sont déposées au fil des centaines de milliers d'années.

Gérard Desmedt

La mer à Paris, les Catacombes, place Denfert-Rochereau. Jusqu'au 3 mars 2013. Tél. : 01 43 22 47 63 - 10h – 17h tous les jours sauf lundi et jours fériés.

Visionnez la vidéo de l'exposition

01 juillet 2012

La promenade aux fortifications

Un article d’Emile Zola, paru dans le Messager de l’Europe, Août 1878

…Les Parisiens montrent aujourd’hui un goût immodéré pour la campagne… Le dimanche, la population, qui étouffe, en est réduite à faire plusieurs kilomètres à pied, pour aller voir la campagne, du haut des fortifications.

paris,paris 14e,emile zola,fortifications

Cette promenade aux fortifications (photo d'Emile Atget -cliquez pour agrandir-) est la promenade classique du peuple ouvrier et des petits bourgeois. Je la trouve attendrissante, car les Parisiens ne sauraient donner une preuve plus grande de leur passion malheureuse pour l’herbe et les vastes horizons.

Ils ont suivi les rues encombrées, ils arrivent éreintés et suants, dans le flot de poussière que leurs pieds soulèvent ; et ils s’assoient en famille sur le gazon brûlé du talus,  en plein soleil, parfois à l’ombre grêle d’un arbre souffreteux, rongé de chenilles. Derrière eux, Paris gronde, écrasé sous la chaleur de Juillet ; le chemin de fer de ceinture siffle furieusement, tandis que, dans les terrains vagues, des industries louches empoisonnent l’air. Devant eux, s’étend la zone militaire, nue, déserte, blanche de gravats, à peine égayé de loin en loin  par un cabaret de planches. Des usines dressent leurs hautes cheminées de brique, qui coupent le paysage et le salissent de longs panaches de fumée noire.

Mais qu’importe ! par-delà les cheminées, par-delà les terrains dévastés, les braves gens aperçoivent des coteaux lointains, des prés qui font des tables vertes, grandes comme des nappes, des arbres nains qui ressemblent aux arbres en papier frisé des ménageries d’enfant ; et cela leur suffit, ils sont enchantés, ils regardent la nature, à deux ou à trois lieues. Les hommes retirent leurs vestes, les femmes se couchent sur leurs mouchoirs étalés ; tous restent là jusqu’au soir, à s’emplir la poitrine du vent qui a passé sur les bois.  Puis, quand ils rentrent dans la fournaise des rues, ils disent sans rire : «  Nous revenons de la campagne… »

(Ce texte a été extrait du N° 26 du bulletin de la S.H.A. du 14e , publié en 1981)

N.D.L.R  Tout rapprochement en ce début de XXIe siècle, avec les hordes d’autos piaffant sur les autoroutes de l’Ile-de-France, et les millions de « juillettistes et aoûtiens » à l’assaut des plages normandes, ne serait que pure coïncidence, subordonnée à l’esprit aigri et superficiel de l’observateur citoyen, en mal de voyage et de dépaysement… Vive les vacances !!                         R.R

17 juin 2012

Travaux ERDF et EAU DE PARIS rue d'Alésia : réunion publique mardi 19 juin,19h

ERDF et EAU DE PARIS réalisent des travaux d’entretien et de modernisation de leur réseau situé sous le domaine public.

REUNION d'information sur les travaux de la rue d’Alésia
Mardi 19 juin à 19h à l'Ecole élémentaire du 12-14, rue d’Alésia

Rappelons que depuis bientôt 2 ans la rue d'Alesia est déjà en travaux, avec bus 62 détourné et très long, pour des canalisations CPCU et autres câbles et canalisations. On est en train de battre des records de durée, avec  la Mairie en silence radio. Consultez par exemple sa page de "tweets": que des bonnes nouvelles!  (Cliquez ici)

16 juin 2012

Apprenez les gestes qui sauvent

Un jeune enfant avale des cacahouètes et s'étouffe. Un homme est victime d'une crise cardiaque. Une personne fait une hémorragie grave, suite à un accident... Que faire ? Plus quotidien, savez-vous réagir rapidement en cas de morsure, de piqûre, de brûlure, d'insolation ? Le groupe hospitalier Paris Saint-Joseph (GHPSJ) invite, le 20 juin prochain, les Franciliens à une journée de sensibilisation et d'information sur les gestes qui sauvent. Adultes et enfants pourront découvrir et apprendre les gestes de premiers secours. L'initiation est assurée par les médecins urgentistes et les élèves infirmiers. Au cours de cette journée, les personnels de santé enseigneront aussi comment composer la trousse de secours à emporter en vacances.

Journée d'initiation aux premiers secours. Mercredi 20 juin 2012 entre 10h et 16h. Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph. Hall d'accueil, 185, rue Raymond Losserand

"Claire, hier et aujourd'hui" Conférence mardi 19 juin 2012, à 18h30

"Claire hier et aujourd'hui". Huitième centenaire des "Pauvres Dames" par Soeur Claire-Elisabeth, du monastère de Poligny.

Conférence organisée par l'Association "les Amis de la Bibliothèque Franciscaine", Mardi 19 juin à 18h30. Couvent des Capucins, 32 rue Boissonade.

Métro : Raspail ou RER B Port-Royal, Bus 68

13 juin 2012

Saint Bernard fête la musique!

saint bernard,montparnasse,75014,paris 14e,21 Juin prochain, Fête de la musique:

De 20 heures à 23 heures à la Chapelle Saint Bernard (sous l'horloge de gauche de la gare Montparnasse), soirée de chant choral.
Avec le "groupe vocal de Notre-Dame des Champs" et la "chorale Saint-Bernard de Montparnasse".
Chants d'hier et d'aujourd'hui, musique sacrée, audition de poèmes.
Entrée libre.

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

09 juin 2012

Dangers de la circulation en ville, dans le 14ème

Sur les boulevards des Maréchaux, dans le 14éme, deux accidents dramatiques récents viennent de montrer que, même complètement réaménagés pour le tramway, ces lieux d’intense trafic restent très dangereux, en particulier pour les plus vulnérables, piétons et deux-roues.

Le 22 Mai dernier, un accident s’est produit  vers 19 heures à l’angle du boulevard Brune et de la rue des Plantes. Une cycliste, sur un Velib, a été mortellement renversée par un bus de tourisme espagnol qui remontait le boulevard des Maréchaux. La victime, est passée sous les roues du poids lourd. Elle est décédée sur le coup. Le chauffeur du bus, en état de choc, a été hospitalisé. La Porte de Chatillon reste l’un des lieux les plus accidentogènes de Paris, et ce malgré son aménagement.

A 10h30 le 1er mars 2012, une femme traverse au passage piéton de la rue du Père Corentin, une rue à double sens donnant sur les Maréchaux. Avec elle, deux enfants : l'un dans une poussette et l'autre marchant à ses côtés.
Un camion avec bétonnière vient de franchir le passage piéton et s’apprête à traverser les rails du tramway pour tourner sur le boulevard Jourdan.
Pour une raison inconnue, il s'arrête et fait marche arrière. Il recule au moment où la nounou et les deux enfants traversent la rue du Père Corentin. Le choc est inévitable. La poussette est aspirée par les roues du camion. L’enfant en poussette décède à l’hôpital, les deux autres personnes sont légèrement blessées.

08 juin 2012

Pour mieux connaître le 14e

plaisance,montparnasse,daguerre,paris 14e,75014,montsouris,bohèmeL'association « Secrets de Paris » organise plusieurs visites-conférences  pour mieux connaître le 14e, en juin et juillet.

Samedi 9 juin : la rue Daguerre, , ses commerces, ses artistes, ses arrières-cours et ses secrets.

Rendez-vous à l’angle de la rue Daguerre et de l’avenue Général Leclerc, devant le 1, rue Daguerre (M° Denfert-Rochereau, 75014), à 15 h. - Tarif : 11 euros.

Dimanche 10 juin 2012 : Montparnasse et la bohème. Balade dans le Montparnasse artistique, ses cafés, ses ateliers, ses anecdotes.

Rendez-vous devant La Coupole (102, bd Montparnasse, 75014, M° Vavin), à 15h. - Tarif : 11 euros.

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05 juin 2012

Yutaka Takanashi à la Fondation HCB jusqu'au 29 juillet 2012

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"Pour la première fois à Paris, la Fondation Henri Cartier-Bresson consacre une exposition au photographe japonais Yutaka Takanashi. A travers des séries en noir et blanc et en couleur, le co-fondateur du magazine Provoke nous donne à voir la ville de près comme de loin."

Depuis toujours, Yutaka Takanashi photographie la ville: de près, de loin, voire de très loin ; tantôt «à l’affut» d’une image chargée de poésie, tantôt « ramasseur » d’un morceau de réel. Né en 1935 à Tokyo, Takanashi a travaillé dans la publicité avant de devenir enseignant à l’université Zokei. Il est membre fondateur en 1968 du fameux mouvement Provoke qui publia brièvement la revue éponyme. L’aspect provocateur de ce court phénomène cachait une réaction profonde à l’establishment photographique. Toshi-e (vers la ville), son premier livre en noir et blanc à la maquette sophistiquée, marque la distance du photographe, qui a su affirmer son style en ne cédant pas aux sirènes du moment. Takanashi cherche l’invisible, une poétique différente dans des espaces urbains improbables en pleine mutation. Machi (la ville), son deuxième ouvrage, est tout le contraire de Toshi-e : avec Machi, j’ai tenté de me débarrasser du poétique, explique le photographe, qui a su trouver une modernité dans cette approche calme et pensée de la ville de l’intérieur, en couleur.

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Alesia-jeunes: happy Birth Day!

Birthday-AJ.JPGSamedi 9 juin, Fête à Alesia Jeunes!

Au programme de la journée:

-10 à 12 heures, inscriptions pour la rentrée 2012

-14h à 16h: Spectacle, clown, théâtre

-16h: gâteaux d'anniversaires

-Messe célébrée par les différents groupes de la Maison Alesia-Jeunes.

Vous êtes attendus nombreux dans la joie et la bonne humeur!

13 mai 2012

Cycle de prière oecuménique - Prière pour le monde

13/05/2012     semaine 2        Jean 15, 9-17 ; Ps 98(97

KENYA, TANZANIE

Le Kenya et la Tanzanie qui sont situés dans la région des Grands Lacs vivent surtout des produits de l’agriculture et du tourisme. Sur le plan politique, ce sont deux républiques multipartites.

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09 mai 2012

Solid'Ici, Solid'Ailleurs 20 mai à 16h

Solid'Ici  dans le 14ème, Solid'Ailleurs  à Bethléem est le slogan choisi par les jeunes de la Maison Alesia Jeunes pour venir en aide aux chrétiens de Bethléem, dont la situation déjà très difficile devient de plus en plus précaire, en raison, en particulier, du "mur", qui rend leur situation économique intenable. L'idée est d'organiser quatre concerts de qualité, dont les recettes iront aux chrétiens de Bethléem. Le prochain aura lieu le 20 Mai prochain, au programme :

"Les petites voix", avec, en invités, Marie-Laure Garnier (soprano), Morgane Danan (orgue) et les Chanteuses du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
 
Dimanche 20 mai 2012 à 16h, à la Chapelle Saint-Joseph de l'église Saint-Pierre de Montrouge

Au programme: extraits du Stabat Mater de Pergolèse, Choeurs pour voix de femmes a capella (Brahms, Duruflé, Poulenc, Lang)

Venez nombreux et parlez-en autour de vous !!!

Solide'Ici Dans le 14ème, en aidant financièrement des jeunes défavorisés à partir en colonie cet été (Colonie organisée par la Maison Alésia Jeunes).
Solid'Ailleurs A Bethléem, en aidant  financièrement des familles de Bethléem, pour qu'elles puissent rester vivre dans leur ville!

08 mai 2012

Le délicat problème de l’antenne Free Mobiles dans le 14éme

AntenneFree.JPGIls ne veulent pas de l’antenne Free Mobile. Des opposants, riverains, associations et élus, dont Serge Blisko, élu du XIIIe, se sont rassemblés au 64, rue de la Santé (XIVe), contre l’installation d’une nouvelle antenne pour téléphones mobiles de Free Mobiles. « Free l’a installée de force mais discrètement et à l’encontre d’un avis défavorable de la mairie du XIVe », dit Françoise Julien-Casanova, du collectif Priartem (Pour une réglementation des implantations d’antennes-relais de téléphonie mobile).

Celia Blauel (EELV), conseillère du XIVe, chargée de la téléphonie, regrette que l’opérateur Free veuille passer en force et activer l’antenne. « On aurait apprécié qu’ils mettent une antenne qui émette le plus bas possible pour qu’il n’y ait pas de problèmes de santé ». L’élue et Priartem indiquent : « On ne lâchera pas l’affaire. »

Il parait difficile, à partir du moment où Free Mobiles est agréé, de lui refuser l’installation d’une antenne, alors que les trois autres opérateurs disposent déjà des leurs. La solution passe par la remise à plat des plans d’installation.

A.C.

02 mai 2012

Signature de Michael KENNA samedi 5 mai de 14h à 16h à la galerie Camera Obscura

signature Michael Kenna 5 mai  à la galerie Camera Obscura Fullmoon.jpgRencontrez Michael Kenna à l'occasion de la publication de son nouveau livre « IN FRANCE »  Merci bien pour tout,  magnifique hommage de Michael Kenna à son amie et agent Martine D'ARC, récemment disparue. Édité au Japon par RAM. Un nombre limité d'exemplaires sera disponible en Europe. Prix de vente : 75 euros

Autres ouvrages disponibles : Huangshan (Nazraeli Press - deuxième édition) : 68 euros- Venezia (Nazraeli Press) : 68 euros- Philosopher's Tree Venezia (Gallery Kong) : 65 euros- Tranquil Morning (Gallery Kong) : 65 euros

268, boulevard Raspail 75014 Paris • Tél : 01 45 45 67 08

19 avril 2012

Une place de village

  La place d’un village évoque pour chacun, un lieu privilégié, où chaque jour, à l’occasion d’un  marché, ou d’un rassemblement  festif,  toute la population vient faire ses courses ou se divertir ; cela donne au village une ambiance qui lui est propre, une convivialité  heureuse que chacun partage avec joie. Les discussions vont bon train, on fait connaissance, on retrouve ses amis, des copains, on se rappelle des souvenirs, et cela finit presque toujours par un verre pris au bistrot !

 place_Victor-et-Hélène-Basch vue de l'avenue du Général Leclerc.JPG Imaginons, mais ce n’est qu’une image, que la place d’Alésia (Hélène et Victor Basch) redevienne pour une journée seulement , une place de village. Tout y est ou presque : l’église, majestueuse qui nous invite chaque dimanche, au son de ses cloches, à venir prier le Seigneur. Pour le reste, le site a bien changé. Ce carrefour, où débouche l’avenue du Maine, royale et haussmanienne par ses immeubles, n’a plus le charme d’antan, lorsque le Petit Montrouge était un « écart » du grand Montrouge. Les anciens ont connu le café « Biard », remplacé par le Crédit Agricole. Les maisons modestes du faubourg, situées à l’angle de l’avenue de Châtillon (Jean Moulin) ont disparu pour devenir le garage Peugeot.  Une banque, la B.N.P. a remplacé le Comptoir National d’Escompte qui logeait dans les locaux d’une ancienne auberge ! En face, le pâtissier Vivier, à l’angle de rue d’Alésia s’est lui aussi transformé en une succursale de la HSBC. La charcuterie Noblet  et son enseigne où présidait un cochon célèbre, a laissé la place, il y a peu, au pâtissier Saibron. Tout au début de l’avenue Jean Moulin, l’impasse du Rouet fait figure encore  d’un lieu insolite. Là, à l’angle, il y  avait une auberge : « l’auberge du Rouet » qui fut remplacée pendant quelque temps par une restaurant italien : "le bistrot romain",  disparu. Aujourd’hui, c’est encore une banque qui a pris la suite !

Après la Libération de Paris, en août 44, des bals furent organisés sur la place et ce durant deux ou trois années… Heureux temps où les pas des danseurs s’envolaient dans un nuage de gaîté et de légèreté, alors qu’aujourd’hui, les pneus des voitures crissent, remplaçant les accents mélodieux des valses musette  et tangos de l’époque…

 Oui, tout cela est bien  fini. « La nostalgie n’est plus ce qu’elle était » ! Alors ? La place d’Alésia, place de village ? Certes non, mais elle est et restera toujours vivante pour celles et ceux qui gardent une image lointaine, idéalisée sans doute, mais qui réjouit le cœur.

 R.Rillot